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| the sad truth is the truth is sad (romeo) Adhara Bellamy ADMIN ☆ du chaos naît une étoile pseudo : agartha avatar : b. wadsworth posts envoyés : 112 crédits : agartha&excelsior âge : coeur fracturé, vingt-et-un morceaux qui s'baladent (19/09) statut : plusieurs morceaux qui se séparent, pas seul, trop seul occupation : vendeur de bouffe au parc luna astrea, étudiant en sociologie adresse : downtown, maison familiale sujets en cours : romeo - les venimeux - elliot | ce message a été écrit le Sam 29 Fév - 22:22 | The sad truth is the truth is sad
@romeo reyes & @adhara bellamy
Une semaine que t'es là. Une semaine que t'es pas rentré chez toi, que t'as répondu aux sms de personne, comme un putain de fantôme. Le corps en feu quand t'es arrivé chez lui, l'envie de pleurer, de hurler, quand t'as frapper trop fort à sa porte, quand t'as hurler. La respiration trop courte, l'envie de crever. Alors tu t'es blottis, trop fort, t'as hurler, encore et encore, contre son torse, dans ses bras, les larmes trop chaudes le long de tes joues glacées, il fait froid, la nuit, dans cette ville lumière. Tu sais pas, si les voisins sont sortis, tu sais pas si t'as dit quelques choses autre que des cris, des larmes, des bruits incohérents. Parce que tu voulais pas appeler tes frères, que t'avais pas envie que ta daronne te voit dans cet état, parce que y avais que lui, tout le temps, toujours, que t'avais mal aussi, que t'avais peur, que ça te bouffait l'air, la respiration, que t'étais incapable de penser correctement.
Tu t'souviens pas vraiment de grand chose, seulement que t'es en vacances, que t'as le droit de t'en foutres, que t'as envoyer un sms à ton boss pour dire que t'étais malade et que t'étais rester là, que t'avais pas bouger. Plaid autour du corps et la tête posée sur les oreillers, la bouffe que tu touchais qu'à peine, soit trop chaud, soit trop froid, soit trop salé, soit pas assez. Tu trouvais toutes les putains de raisons du monde pour pas te nourrir, pour refuser d'manger, parce que t'avais encore la flippe dans l'ventre, dans l'coeur, dans l'sang. Il est pas tard, pas encore, tu sais pas quand il va revenir, s'il va revenir, avec à manger, sans, s'il va t'engueuler parce que t'as encore rien fait, que t'es juste blotti dans son sweatshirt et que tu veux pas bouger à part pour prendre des douches, comme si c'était chez toi, comme si t'étais bienvenue ici alors que t'en as aucune idée, parce que t'as rien dit, rien expliqué, que t'es juste venu comme ça, en larmes, en hurlant, parce que t'avais mal, que t'avais peur, qu't'en avais assez de faire semblant.
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| Romeo Reyes pseudo : theia avatar : matthew daddario posts envoyés : 62 crédits : ava :wanderer ; signature : astra âge : le quart de siècle bien dépassé, la trentaine qui approche et les cheveux blancs qui commencent à apparaître, vingt-huit que tu foules cette planète statut : cœur entouré de glace, t'as pas le temps pour ça, l'excuse facile occupation : lieutenant de police, un comble quand on sait de quelle famille tu viens adresse : loin des jeux de son et lumière, t'as un appartement dans la vieille ville sujets en cours : (( triste strass sur le voile )) ft. adhara bellamy
(( lost kitty in the police station )) ft. solal reyes | ce message a été écrit le Dim 1 Mar - 0:15 | The sad truth is the truth is sad
@romeo reyes & @adhara bellamySoirée tranquille à l'appartement, toi devant la télé parce que t'avais rien à faire que tu voulais passer une soirée dans le calme. Des messages que t'avais envie d'envoyer, mais tu ne voulais pas le déranger, le harceler, lui aussi avait le droit de passer une soirée sans toi. Après tout, il te l'a bien dit, pas de relation officielle, peut-être bien que toi, tu voulais plus, que tu voulais que ça soit officiel, mais le gamin sembler rester sur ces positions et tu ne voulais pas le forcer à quoi que ce soit. Et puis, peut-être que ce n'était pas une si mauvaise chose que ça ne soit pas officiel, après les dires, les menaces de ta sœur. T'avais pas envie que ton père lui fasse subir quoi que ce soit. T'avais bien vu les côtés sauvages d'Adhara, tu sais très bien que tu ne dois pas t'inquiéter, qu'il a cette force, ce feu en lui, un lion même, mais tu connaissais aussi très bien la folie de ton père, un rapport de force qui ne semblait pas dès plus équitables. Soirée qui était perturbée par des coups à ta porte, Adhara qui était là, qui est venu se blottir contre toi, qui essayait de parler entre deux sanglots. Tes bras qui sont venus autour de lui, corps qui se déplaçaient pour tomber dans le canapé. Tes bras qui l'avaient entouré, protégé, rassuré, jusqu'à ce qu'il s'endorme. Corps qui ne veut pas te lâcher, alors vous vous êtes endormi sur le canapé. Tu lui as dit qu'il pouvait rester ici tant qu'il le voulait, s'il se sentait en sécurité. Peut-être qu'une part de toi était heureux de cette situation, parce que tu pouvais l'avoir près de toi.
Une semaine qu'il était là, qu'il était chez toi. Une semaine que tu l'avais contre toi dès que tu rentrais, que vos lèvres se touchaient quand il en avait besoin. Tu voulais qu'il aille mieux, alors tu ne disais rien, tu faisais ce qu'il voulait. Journée de travail qui était difficile, la fatigue qui tombe doucement, t'as juste envie de rentrer chez toi, juste envie de le retrouver. Message que t'envoie pour lui dire que tu pars du poste, que tu rentres bientôt. T'aurais pu prendre fast food sur le chemin, parce que tu commençais à connaître ses goûts, parce qu'il te l'avait dit, mais t'avais pas envie de le faire attendre un peu plus. Retour à la maison qui était sans doute un peu trop rapide, limitation de vitesse qui n'était absolument pas respectée.
Corps que tu retrouves sur le canapé, entouré d'un plaid comme s'il avait froid. Sourire que tu lui fais, corps qui vient s'écraser sur le canapé à côté de lui avant de le prendre contre toi, de lui caresser les joues. « Tonight I'll cook you something. » Sourire qui s'agrandit, presque fier, alors que tu devrais avoir peur. Peut-être que tu rateras ton plat, peut-être qu'il n'appréciera pas ta cuisine. « So what do you want to eat ? » Caresse qui continue doucement sur ses joues, baiser que tu déposes sur son front.
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the sad truth is the truth is sad (romeo) ☽ ☾ | |
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