anecdotes.

(prénom) isabella… ça fait bientôt trois ans qu’elle a renoncé à ce prénom. pas totalement, il apparaît toujours sur sa carte d’identité. pourquoi ? parce-que c’est le nom de sa mère, élisabeth. elle lui avait légué en y ajoutant une petite touche hispanique en hommage à sa mexicanité qu’elle tient de son paternel. isabella après quelques démarches adnimistratives devint nala. oui, nala comme la lionne du roi lion. la brune se reconnait en elle. ses convictions, son courage, sa force. aujourd’hui, la seule personne qui s’obstine à l’appeller isabella est son père. pourtant elle sait qu’il déteste autant (voire plus) ce prénom qu’elle. (los angeles) la vie à los angeles avec ses parents et son grand frère, rafael, elle s’en rappelle vaguement. elle n’était pas rose mais elle était mieux. bien mieux, malgré les disputes et les soirs où il n’y avait pas grand chose sur la table au dîner. elle s’y sentait quand même chez elle, surtout dans sa chambre qu’elle partageait avec son grand frère. il était son meilleur ami, son confident et son protecteur. fin, il était tout pour elle. jusqu’à ses six ans. l’année où sa mère a foutu le camp lui arranchant son rafael. où ? aucune idée. pourquoi ? elle en sait rien. pendant des jours, elle a attendu leurs retour. puis des semaines, puis des mois. alors que l’état de son père ne faisait que s’empirer. entre ses nombreux petits boulots merdeux, la boisson et la solitude, il est petit à petit tombé dans l’addiction. dans les jeux. des parties de poker en ligne de huit à seize heures. des soirées sans fin au casino pendant que la petite attendait devant. un cercle vicieux qui les a forcé à déménager, beaucoup, allant de villes en villes. logements sociaux en logements sociaux. avant de finir, aux onze ans de nala, dans la ville de tous les excès. las vegas. (high maintenance) nala elle est pas facile à vivre. elle est sympa en simple pote. mais dès qu’elle s’attache à toi, t’es foutu. entre sa peur de l’abandon, sa jalousie voire possessivité et son besoin constant d’être rassurée, elle finit par faire fuir les gens. (subscribe) depuis plusieurs années, nala s’amuse à poster ses séances de danse sur les réseaux. elle est longtemps passée inaperçu jusqu’à l’année dernière. aujourd’hui, elle accumulé une dizaine de milliers d’abonnés. pas assez pour être contactée par des marques ou des agences. mais juste assez pour se sentir « vue ». elle perd souvent des heures à correspondre avec ses abonnées, quelques heures où elle s’échappe de la réalité. (friends) à défaut d’avoir une vraie famille, nala s’en est crée une : une bande de potes. elle les connait depuis le collège pour la plupart et depuis elle ne les a pas lâché. ça lui arrive souvent de les contempler, un à un, se demandant comment ils pouvaient tous être toujours là, tellement d’années plus tard. y a eu des disputes, des trahisons et des bagarres, plus qu’elle ne peut  les compter. puis elle se rappelle qu’il y a eu encore plus de fous rire, délires et de conneries. (danseuse & co) le lycée terminé et la brune n’a pas eu le luxe d’aller à l’université. elle a plutôt enchaîné les petits boulots jusqu’à ses dix-neuf où elle fut repéré par cet homme qui dirigeait un cabaret. il l’a pris sous son aile et elle a commencé à y danser (sous le pseudonyme de sakura) d’abord une nuit ou deux par semaine, puis presque tous les soirs. plus les mois passaient, plus il lui faisait d’autres propositions. des petits jobs à la fermeture des rideaux qui allait de danses privées à faire la mule. d’abord gênée, sa situation plus que précaire a vite fait oublier à nala ses inquiétudes. ($$$) si ce n'était que pour ses charges et ses quelques dépenses exceptionnelles, nala vivrait. ni bien ou ni mal. mais elle doit aussi s'occuper de son père, notamment payer ses dettes mais également ses séjours en désintox. parfois, elle se demande pourquoi elle fait tout ça. il n'a jamais vraiment été un père, tout ce qu'il lui a donné c'est des insultes quotidiennes car rien n'était jamais assez bien pour lui ou plutôt parce-qu'elle ressemblait un peu trop à sa mère. mais au bout du compte, c'est son parent. le seul qui ne l'a jamais abandonné.

quelle femme
wow we stan
j'ai hâte de voir ta p'tite en jeu !

ta fiche est validée, bienvenue à Las Vegas ! à présent, tu peux aller rp librement dans nos rues, te forger des liens, t'amuser comme jamais.
avant tout, n'oublie pas que les annexes sont en place pour t'aider à appréhender l'univers de Genus Stellae. si tu peux venir référencer ton métier ici ça nous arrangerait énormément. tu peux aussi demander un rang personnalisé pour customiser un peu ton profil. c'est sans conditions et diablement joli !  
tu peux aussi aller créer ton sujet perso, pour tenir un répertoire à rps, un répertoire à liens ou même un journal intime ! si tu n'as pas encore réussi à tisser de liens ni à commencer un rp, tu peux aussi aller jeter un oeil dans les sujets libres ou en créer un toi-même et l'y référencer.
le flood t'est aussi ouvert pour faire connaissance avec les autres membres !