bienvenue sur Genus Stellae !
l'ouverture du forum a eu lieu le 15 février 2020.

n'oubliez pas de passer voter sur nos top-sites dès que vous le pouvez !
c'est la meilleure façon de s'attirer de nouveaux copains ! tournesol fané (adhara) 1672206066
salut les moussaillons astraux ! tournesol fané (adhara) 3228188566
une première maintenance se termine, et à cette occasion, le forum connaît son
premier recensement !
venez vite vous y inscrire pour ne pas être supprimé !
recensement actif jusqu'au 20 mars !
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

Poster un nouveau sujet   
Répondre au sujet
tournesol fané (adhara)
Elliot Wardley
Elliot Wardley
pseudo : Babylon
avatar : Shawn Mendes
posts envoyés : 19
crédits : Persona
âge : Vingt-et-une poussière solaire.
statut : Célibataire. Le cœur épris pour l'autre.
occupation : Serveur au Léopard et étudiant en astronomie.
adresse : Western Vegas, pavillon chic très bien entretenu. (Maison de papa et maman)
https://genus-stellae.forumactif.com/t222-regarder-les-etoiles-e
ce message a été écrit le Sam 29 Fév - 23:03
@elliot wardley & @adhara bellamy

T’as comme l’impression que le soleil s’était éteint ce soir-là. Et tu ne saurais même plus dire, combien de temps, tu étais resté sur ton lit. Le regard vide, hagard. Non, tu ne sais pas si t’étais resté ainsi, des minutes, des heures, des jours. Parce que la douleur avait explosé aussi violemment qu’un raz-de-marée. Aussi violemment qu’une gifle. Et le vide avait laissé place aux larmes, aux cris. Au corps qui s’écroule et n’arrive plus à se relever. Tu avais si mal. Mal. Et tu ne savais pas trop ce que tu foutais ici, ce soir. Une semaine, une semaine où t’avais comme l’impression que le soleil s’était éteint ce soir-là. Tes sourires étaient devenus difficiles. Encore plus quand t’avais pas eu de message de sa part. Quand tes excuses n'avaient trouvé que du silence. Rien. Pas un mot. Pas un message. Et t’avais continué de pleurer. Continuer de t’éteindre. Parce que tu savais pas quoi faire d’autre. Parce que tu souffrais. D’un putain de chagrin d’amour. D’un cœur brisé trop fort. Et ça faisait mal tellement. Alors, vraiment, tu te demandais ce que tu foutais là. Assis dans ce resto de burgers. Pas trop cher. Mais, bon. Vraiment, avec ces allures sixties. C’était mieux qu’un fast-food et vous vous y retrouviez souvent. Là, tous ensembles.

Mais, t’étais assis à la table, un peu comme un con. Parce que tu ne voyais personne encore. Et que ton téléphone restait muet. Tu te demandais bien ce qu’ils faisaient. Mais, surtout s'il serait là ce soir. Tu en doutais. Vraiment. Parce que...parce que t’avais vraiment peur de le revoir. Parce que tu n’étais peut-être pas prêt. Non. Parce que t’avais cette allure de tournesol fané. Et qu’il ne connaissait que celui ensoleillé. Soupirer doucement et croiser les bras sur la table. Pour se noyer dedans. Visage posé sur tes avant-bras. Ne pas faire attention autour et les attendre. En vrai, t’avais quand même quelques minutes d’avance.

Puis, quelqu’un qui arrive. Bruits de pas. Alors, relever le visage. Fixer la silhouette. Et la peur. Encore. Tellement. Tu ne sais pas quoi faire. À part peut-être ce sourire trop timide. Merde. Pourquoi lui, pourquoi pas les autres. Ils étaient où d’ailleurs, ces cons ?! Déglutir difficilement. « Salut. » Parce que tu ne savais pas trop quoi dire. Parce que tu étais gêné. Parce que tu voulais pleurer. Encore. Comme toutes ces nuits depuis qu’il était parti. Depuis qu’il t’avait fait comprendre qu’il n’y aurait pas de, nous, entre-vous. « Les...les autres sont pas encore là. » Non.
Adhara Bellamy
Adhara Bellamy
ADMIN ☆ du chaos naît une étoile
pseudo : agartha
avatar : b. wadsworth
posts envoyés : 112
crédits : agartha&excelsior
tournesol fané (adhara) QMIZNb0
âge : coeur fracturé, vingt-et-un morceaux qui s'baladent (19/09)
statut : plusieurs morceaux qui se séparent, pas seul, trop seul
occupation : vendeur de bouffe au parc luna astrea, étudiant en sociologie
adresse : downtown, maison familiale
sujets en cours : romeo - les venimeux -elliot
https://genus-stellae.forumactif.com/t57-mots-de-velours-adhara#
ce message a été écrit le Sam 29 Fév - 23:42
@elliot wardley & @adhara bellamy

Tu t'étais enfui. Parce que c'était comme si on t'avais compressé trop fort la poitrine, comme si on t'avais sectionné les membres pour te forcer à rester. Parce que c'était douloureux. Pourtant, t'avais reçu un message, soirée, comme d'habitude, restaurant pas trop cher où tout le monde pouvais manger, où tout le monde trouverais un truc qui lui plairait. Y a un baiser qui part avant que tu partes, parce que lui vient de revenir et t'as un sourire qui plisse doucement ton visage, peut-être que tu choperas des rides à force de sourire, parce que t'as toujours cette veste qui t'appartient même pas et que ça te dérange à peine. Tu sais pas si Elliot sera là, tu supposes que oui, parce que c'est lui qui vient d'envoyer le sms et qu'il attend sûrement déjà, tu sais même pas s'il veut te voir, mais t'as bien envie de dire que ça changerait rien. La clope éteinte entre les lèvres, parce que t'essaie d'arrêter, que t'as peut-être l'air débile mais qu'au moins t'éviteras peut-être le cancer des poumons, car ça, c'était tout sauf cool à chopper. Restaurant dont tu pousses la porte, clope que tu ranges dans ta poche, bien au chaud avec un joint qui appartient à tu ne sais plus qui, peut-être que c'est le tien et que t'avais zappé, oublier. « Salut. » Quand t'arrives à sa hauteur, sucette qui remplace la clope, tu la mettras de côté peut-être si t'as envie de manger un truc pas sucré, t'as envie de gaufres alors que t'es dans un restaurant spécialisé pour les burgers, t'étais étrange.

« Yo. » Cordial, t'as même pas les yeux qui se posent sur lui, le cul près d'la fenêtre, banquette où encore trop de gens pouvaient s'installer, t'avais encore tes putains de cernes de la taille d'la ville. « Les...les autres sont pas encore là. » Sourire et brisure de sucre parce que ta dent fait éclater un morceau. Les épaules que tu hausses. « Il est encore tôt. » Juste, ça, parce que tu savais pas quoi dire d'autre. « Tes excuses, t'aurais pu faire mieux, mais merci. » Qu'tu dis, doucement, le regard pas affolé plus qu'autre chose. « T'as réfléchi ? Tu sais que j'vais pas arrêter d'le voir, ni de vivre pour toi. » Main que tu lèves, appel un serveur. « Des gaufres, poulet frit sirop d'érable, et pour toi ? » Tu regardes doucement. « Ah, un milkshake caramel aussi. » Parce que t'avais envie d'sucrer, peut-être. « Alors ? » Tu le regardes, les mains croisées et le visage un peu trop froid, comme s'il devait répondre à tout en même temps.

Elliot Wardley
Elliot Wardley
pseudo : Babylon
avatar : Shawn Mendes
posts envoyés : 19
crédits : Persona
âge : Vingt-et-une poussière solaire.
statut : Célibataire. Le cœur épris pour l'autre.
occupation : Serveur au Léopard et étudiant en astronomie.
adresse : Western Vegas, pavillon chic très bien entretenu. (Maison de papa et maman)
https://genus-stellae.forumactif.com/t222-regarder-les-etoiles-e
ce message a été écrit le Dim 1 Mar - 0:21
@elliot wardley & @adhara bellamy

Tu ne t’y attendais pas. Non. À ce qu’il claque ça dans l’air. À ce que de tels mots passent ses lèvres alors que tu n’avais toi-même pas encore dit grand-chose. Et ça te laisse sans voix. Ça te laisse paralysé. À le fixer. La gorge soudainement serrée, de trop. Tes excuses, il en avait rien faire. Peut-être même, qu’il n’avait plus rien à faire de toi. Et tu ne sais pas quoi dire. Tu restes silencieux, le cœur au bord des lèvres, les larmes aux bords des yeux. Le soleil envolé, le visage fatigué. Tu as envie de pleurer. Et tu ne l’écoutes que d’une oreille commander sa nourriture. Tu ne sais pas, toi, si tu as vraiment faim. Peut-être pas vraiment ce soir. Pourtant, le serveur est là, il te regarde. Il attend. Comme Adha semble attendre tes réponses. Tu te racles la gorge. Et pourtant, ça sort comme étranglé. « Des nuggets et des frites. Avec un coca. Merci. » T’avais vraiment pas faim. Vraiment pas. Mais, t’allais pas rester là les bras ballant. À attendre les autres. À le regarder aussi. Tu...tu…

Te racler encore la gorge. Alors. Alors quoi ? Alors ? T’en sais rien putain. T’en sais rien. Parce qu’il a encore parlé de l’autre. Qu’il n’arrêtera pas de voir. Qu’il n’arrêtera pas de vivre. Mais, tu lui avais jamais demandé d’arrêter de vivre ! Jamais. Et tu ne veux pas le voir te regarder ainsi. T’as l’impression que ça te brise encore un peu. Un peu plus. Et c’est toi, toi, qui as envie de fuir. De partir. De ne plus jamais le regarder, ne plus jamais l’aimer. Même si ça bat encore trop fort dans ton cœur. Parce que ça fait trop mal qu’il te méprise. N’est-ce pas ? Silence trop lourd. Jusqu’à ce que les plats arrivent. Parce que t’es incapable de dire quoique ce soit. Parce que… « Je... » Ta langue glisse sur tes lèvres trop sèches. Tes mains se crispent le long de tes genoux. Est-ce que c’est normal que ça fasse si mal. D’aimer ? « Je ne t’ai jamais demandé d’arrêter de vivre. » Parce que tu ne l’as pas fait. Et que s’il a compris ça, il s’est trompé. Vraiment. « J’ai juste été jaloux. Jaloux de voir que quelqu’un d’autre...t’aimais, à sa façon, à votre façon. » Et tu voudrais pleurer. Et tu voudrais le regarder. Mais, tu ne le feras pas. Parce que t’as fait le con et que c’est trop tard. Parce qu’il n’y a que l’attaque sur son visage et que tu ne peux pas le supporter. Non. « Je t’aime, tu sais. »

Attraper un nugget, jouer avec un peu. Avant de le reposer. Tu n’as pas faim, pas soif. Pas vraiment. Pas ce soir. Tu te demandes bien où sont les autres. Pourquoi ils ne sont pas encore là. Tu ne peux pas rester tout seul avec lui. Tu ne peux plus. La larme glisse, traîtresse, lentement et silencieusement sur ta joue avant que tu ne l’essuies rapidement. Comme si ce n’était pas arrivé. Non. « Et si… si c’est lui que tu veux. Alors va Adha. Parce que… s’il te rend heureux, ça me suffit. Parce que c’est ce que je veux. Que tu sois heureux. Autant que possible. » Mais, tu ne sais pas, non, si tu vas être capable de cesser de l’aimer. Si tu vas être capable d’être à nouveau qu’un ami. Tu ne sais pas si tu vas être capable de retrouver cette complicité d’avant. Non. Tu ne penses pas. « Mais...mais je ne sais pas si je vais être. Être capable. De...je... » Mais tu n’y arrives pas. Tes mains se serrant fortement l’une contre l’autre. Tes yeux bien trop brillants. Tu es si fatigué, d’avoir tout gâché. « Je...je ne sais pas si je vais être capable d’arrêter de t’aimer. D’être juste ton ami. » Murmure qui glisse là. Et tu es désolé, tellement, tellement. Mais, il a l’air de tellement te haïr, là, maintenant, que tu te demandes même si vous êtes ne serait-ce qu’encore un peu. Ami.
Adhara Bellamy
Adhara Bellamy
ADMIN ☆ du chaos naît une étoile
pseudo : agartha
avatar : b. wadsworth
posts envoyés : 112
crédits : agartha&excelsior
tournesol fané (adhara) QMIZNb0
âge : coeur fracturé, vingt-et-un morceaux qui s'baladent (19/09)
statut : plusieurs morceaux qui se séparent, pas seul, trop seul
occupation : vendeur de bouffe au parc luna astrea, étudiant en sociologie
adresse : downtown, maison familiale
sujets en cours : romeo - les venimeux -elliot
https://genus-stellae.forumactif.com/t57-mots-de-velours-adhara#
ce message a été écrit le Lun 9 Mar - 11:26
@elliot wardley & @adhara bellamy

Venin sur le bout des lèvres, qui dégoulinerait presque jusqu'à ton cou. Serpent autour du cou de l'autre, aimerait serrer jusqu'à l'étouffement, aimerait explosé les artères et faire couler le sang. Tu ne sais pas pourquoi tu t'étais déplacé, pourquoi t'étais venu, pourquoi tu t'étais dit que c'était une bonne idée. Y avait cette rage qui enserrait ton cœur, parce que tu détestais cette situation, parce que tu détestais le fait qu'il ait failli être violent, le fait qu'il agissait comme si t'étais coupable de quelque chose d'horrible, comme si t'avais buté son chat. Vous n’étiez pas ensemble, tu ne lui appartenais pas, t'avais jamais appartenu à personne et ça aurait certainement pas commencer ce jour-là pas avec lui, parce qu'il était un pote, rien de plus, parce que tu ressentais pas ce que tu ressentais pour l'autre, parce que c'était bien de rire, de se toucher, mais c'était rien de plus et tu le savais, t'attendais juste peut-être qu'Elliot l’intègre. Les mots durs, tranchants, parce que t'avais déjà dit, déjà prévenu, parce que t'avais passer une semaine à réfléchir, dormir, te morfondre, parce que tu méritais mieux.

T'écoutes à peine ce qu'il commande, tu sais même pas si t'allais payer de toute façon. « Je ne t’ai jamais demandé d’arrêter de vivre. » Sourcil que tu lèves, regard froid, peut-être un peu étonné, parce que toi tu l'avais senti comme ça, que tu l'avais compris comme ça, que t'avais failli te faire tabasser juste parce qu'il avait pas réussi à se contenir. « C'est pas ce qui m'a semblé quand tu m'as attrapé si fort que j'pense que j'ai encore les bleus et quand tu m'as hurlé dessus. » Parce que la masculinité toxique que ces comportements dégageaient te donnait envie de gerber. « J’ai juste été jaloux. Jaloux de voir que quelqu’un d’autre...t’aimais, à sa façon, à votre façon. » Rire qui passe la barrière de tes lèvres, gosse qui se racle la gorge. « La jalousie fait pas devenir violent, j'ai jamais cassé la gueule de quelqu'un parce qu'il avait réussi à avoir la dernière montre que je voulais avant qu'elle soit hors stock. » Parce que c'était putain de pas logique pour toi, c'était inconcevable.

« Je t’aime, tu sais. » Et ça, ça te fait un coup dans la gueule et que t'as le visage qui se détend un peu, perd le rictus moqueur et froid, parce que tu comprends pas, que tu sais pas non plus comment réagir et que ça te donne peut-être aussi un peu froid dans l'dos, tu sais pas c'que c'est toi, l'amour. Bouchée que tu prends, trop grosse presque, parce que tu veux faire passer l'information comme si elle avait jamais été dans l'air, parce que ça te met un peu mal-à-l'aise aussi. « Et si… si c’est lui que tu veux. Alors va Adha. Parce que… s’il te rend heureux, ça me suffit. Parce que c’est ce que je veux. Que tu sois heureux. Autant que possible. » T'as les sourcils qui se froncent, encore, parce que ça fait pas sens pour toi. « Pourquoi tu fais comme si j'pouvais vouloir qu'une putain de personne à la fois ? » Dégoût sur ton visage, parce que tu comprends pas c'qu'il veut dire et que ça te dérange à l'intérieur. « Il est là quand j'ai besoin d'lui, c'est tout. Y a pas d'amour là-dedans. » T'sais même pas c'que c'est, l'amour, en vrai. L'amour c'est qu'un concept abstrait et débile, t'as pas le temps d'avoir le cœur brisé.  « Mais...mais je ne sais pas si je vais être. Être capable. De...je... je ne sais pas si je vais être capable d’arrêter de t’aimer. D’être juste ton ami. » T'as un peu la gorge qui gratte, glacée du milkshake que tu t'enfiles, t'assumes. « Qui t'as demandé de faire l'impasse sur tes sentiments ? » Parce que t'avais jamais rien dit de tel, jamais souligner ça. « J't'ai demander où dans cette conversation de faire genre que tu ressentais rien ? Nul part. Arrête le bullshit de drama-queen maintenant. » Parce que t'as jamais rien supposé d'aussi débile, t'es bien placé pour savoir que les sentiments ça se contrôle pas. « Aime-moi, qui t'empêche ? J'suis pas en couple, j'suis pas marié ? Bah alors ? » Concept trop compliqué pour toi, ça t’énerves, fort, tout ça.
Contenu sponsorisé
ce message a été écrit le

Poster un nouveau sujet   
Répondre au sujet
tournesol fané (adhara)
☽ ☾